CHAPITRE 1 : LA CARTE D'IDENTITE DU CHEVALIER
Je m’appelle Arthur Martin. J’ai épousaillé Agathe Larsonneur, nous avons eux quatre enfants: Mathilde, Camille, Adrien et Florentin. Mon père s’appelle Charles Martin et ma mère Alix Rabier.
Dans mon enfance ma nourrice ma allaiter jusqu’à l’âge de deux ou trois ans. Nous avons eux des sentiments d’affection qui se sont nouer entre nous deux. Ma nourrice avait 27ans , elle était en très bonne santé , elle avait un caractère heureux et elle était dotée d’une intelligence certaine . Ma nourrice ressemblait a ma mère .
A l’âge de 7 ans je fus confier à un seigneur. Je suis devenu sont compagnons de chasse , de voyage et de guerre. Je dut servir le seigneurs jusqu’à l’âge de 17 ans.
De 14 à 19 ans je fus écuyer .J’ai eu une éducation sévère:
- Apprendre les nobles règles.
- Se fortifier.
- Monter a cheval.
- Apprendre a magner les armes.
- Lutter.
- Nager.
- Chasser.
- Et apprendre les arts quelque fois.
A 20 ans je fus adouber et je devins chevalier. Je poussa la main sur l’évangile et je prête a haute vois le serment des chevaliers. Après cela les pages m’aident a revertir ma tenue: cotte de maille, cuirasse, brassards et éperons dorés. Si je manque à mon serment, je suis proclamé indigne.
CHAPITRE2 : UNE JOURNEE SUR LA SEIGNEURIE
Ce matin, je décidai me promener de sur ma seigneurie .
Une seigneurie c’est un village de paysans, on remarque la position du château qui domine le village de sa hauteur . Avant de me promener dans ma seigneurie je fis un tour dans mon château qui est mon habitation et celle de ma famille et de mes soldats nous protège en cas d‘attaque les villageois sont autorisés à se mettre à l’abri dans mon château. En échange de cette protection ils doivent me payer chaque année un impôt:la taille. Ils doivent aussi participer aux travaux d’entretien des fossés. J’ai un pouvoir de commande et de justice.Je juge les crimes et les délits des habitants de ma seigneurie. Je peux condamné les paysans a payer les impôts et pour les crimes les plus grave je peux prononcé la peine de mort. Mes plus grandes partie de terre sont attribuées a mes paysans: se sont les tenures. Je décidai d’aller à la rencontre de mes paysans. Je vis Jean, un paysan qui travaillait sur sa tenure:
«Bonjour Jean. Comment se passe la moisson?
-Bonjour mon seigneur, la récolte est bonne et les rendements son meilleurs grâce à l’assolement triennal, il y aura beaucoup de blé pour faire du pain et les moulins serviront beaucoup.
-Je vous laisse je dois aller chasser avec mes chiens.
-Au revoir mon seigneur.»
CHAPITRE 3 : L'INVITATION AU BANQUET
En septembre mon ami Anthelme le Grand m’a invité à son banquet pour le mariage de sa fille ainée .
En effet, je suis son vassale. Je l’ai donc conseillé et l’aide millitairement et finacièrement notament pour ce mariage, il m’a offert un fief .
Et quand j’arrive ,je suis accueillit par mon hôte. Les tables sont disposée en U au centre du quel se trouve le seigneur et ses invités préstigieux.
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Lorsque le banquet commença les musiciens sonnèrent le cor, tout était présenté de manière succésive sur la table : les domestiques ont apportés un enssembles de divert plats d’un même met .
Au premier service, c’est la mise en bouche (une sorte d’appéritif.)
Deuxième service, les soupes (préparations liquides) ; Troisième service, les potages ;
Quatrième service , les poissons ;
Cinquième service , le veau en pièce de viande rôt ;
Sixième service, le déssert (plat sucrée) .
Nous mangeons sur du pain et nous nous servons beaucoup de nos mains pour manger.
La nourriture qui n’était pas manger à été jetée soit aux pauvres soit aux chiens du château.
Entre les repas il y a eu des entremets : c’est une pause divertissante qui permet de digéré, il y avait des troubadours , des jongleurs, des ménestrélles et autres magiciens qui nous permettait de nous distraires .
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CHAPITRE 4 : UNE VISITE DANS L'ABBAYE
Ce matin,en me réveillant,mes yeux me piquaient.Ils étaient tout gonflés. Je décidai donc de prendre mon destrier afin d’aller voir mes amis les moines qui ont construit leur abbaye sur mes terres.
Le portier m’ouvre la porte.L’abbé prévenu de ma venue,vient me saluer. IL le lave les mains et me remet aux soins du moine infirmier.
Certains moines apprenaient la médecine en plus de leur enseignement religieux. Il y avait une infirmerie partout où il y avait des établissements religieux. Les soins prodigués étaient gratuits. Dans leur jardin, les moines cultivaient des plantes médicinales.
Le moine infirmier m’emmène dans son infirmerie qui se trouvait à l’Est de l’abbaye.Mes yeux me faisaient terriblement mal.Ils étaient très rouges et je pleurais. j’expliquais mon mal au moine infirmier qui allait m’examiner. Il me mit sur mes yeux une potion de bleuet qui était utilisé pour traiter les affections oculaires.
Ensuite, ayant très faim, je me suis dirigé à l’hôtellerie pour demander au moine hôtelier un repas froid. Fatigué, je m’endormis sur une paillasse. Je me réveillai le lendemain matin. Mes yeux me piquaient moins. Je suis allé voir le moine infirmier et l’abbé pour les remercier.
En partant j’ai traversé la salle capitulaire où des moines s’étaient réunis pour discuter des vendanges. Je suis ensuite passé par le cloître, l’église abbatiale pour sortir et rejoindre mon château.
Les monastères étaient à la tête de vastes domaines dont ils tiraient des richesses.
CHAPITRE 5 : DE PASSAGE EN VILLE
Ce matin, je décidai d’aller voir mon amis le marchand qui vit sur la cité situer sur mes terres.
Arrivées dans la cité je vis des maisons en bois, des toits en chaume …
Il y a beaucoup de colombage. A fin de rendre l’argile plus résistant on lui ajoute des feuilles, de la paille et de la Buse.
Dans la rue ont expose tout les objets que l’on veux.
La rue est étroite. La ville est très animer.
Au rez de chausser des maisons il y a des artisans qui travaille devant les yeux des passant.
Les métiers les plus importants sont : le forgeron, le charpentier et le talmier.
J’admirai les corporations.
Elle regroupe un ou plusieurs métiers qui assure une protection face à la concurrence extérieure. Les corporations prennent un poids politique, administratif et militaire. Je vis un apprenti travailler dans un atelier. C’est la première étape du colombage. Les différentes étapes sont l’apprentissage, le compagnonnage et la maîtrise.
En admirant ma cité, je me dis que j’ai bien fait de rédiger une CHARTE DE FRANCHISE. Dans celle-ci, il est dit que :
1:il autorise que les hommes n’ont plus à payer la taille (impôts)
2:nul dans mon domaine ne fera pour moi la corvée
3:il sera permis aux bourgeois d’élire 12 des hommes pour diriger la ville.
Le marchant que je suis allé rencontrer me proposa de l’accompagner à une foire.
Il me dit qu’elle avait lieu deux fois par ans.
Pour chaque foires les villageois ont trois semaines pour la préparer;la première semaine il prépare leur stands;c’est la deuxième semaine des négociation, la troisième semaine c’est la sortie de la foire, à savoir le payement de la marchandise.