C'est l'histoire de notre ministère, des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 ! direction de la communication (SG) - septembre 2024

Depuis près de sept ans ou depuis quelques mois, en Île-de-France et sur l’ensemble du territoire, les agents du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires ont contribué à faire des Jeux olympiques et paralympiques de Paris un succès et un moment historique ! Chacun dans son domaine respectif, avec son expertise, a été essentiel à l’organisation de ces Jeux. La tenue d’épreuves en Seine, la construction d’un village des athlètes futur éco-quartier, une parade fluviale exceptionnelle en ouverture des Jeux, une gestion des transports anticipée, un impact environnemental maîtrisé, derrière ces réussites se cachent les efforts passés et présents des agents de notre ministère.

C’est l’histoire de notre ministère, de ses agents partout sur le territoire et des Jeux de Paris 2024 !

Un village des athlètes futur éco-quartier

Durant les Jeux, le village des athlètes a accueilli 14 500 athlètes et leur équipe pendant les Jeux olympiques et 9 000 athlètes et leur équipe pendant les Jeux paralympiques. Ce village est l’un des rares ouvrages olympiques construits pour les Jeux de Paris. Un chantier immense, conçu dès le départ pour un double usage, village des athlètes et quartier d’habitation, auquel ont contribué les agents du ministère en poste au sein de l’unité départementale 93 de la direction régionale et interdépartementale de l'environnement, de l'aménagement et des transports (DRIEAT), à la direction de l'habitat, de l'urbanisme et des paysages (DHUP) mais aussi à la Solideo*.

* Solideo : société de livraison des ouvrages olympiques

Un village à double usage

« Avant même la candidature, actée en septembre 2017, nous avons été embarqués dans cette aventure au travers de groupes de travail qui avaient pour objectif, d'une part, de définir l'articulation de l'implication de l'État aux côtés des collectivités locales et, d'autre part, de voir si à droit constant le projet olympique était faisable et, le cas échéant, imaginer des adaptations. Ça conduit donc à une première loi olympique en 2018 avec des innovations législatives, y compris dans les codes pour des projets futurs. Je pense par exemple à des évolutions des permis de construire qui permettent d'imaginer un village olympique qui est fait pour les athlètes, mais aussi pour les futurs habitants de la Seine-Saint-Denis.»

Christophe Suchel, adjoint au sous-directeur de l'aménagement durable à la DGALN/DHUP

« On est intervenu très en amont des Jeux olympiques puisqu'on a été amené à travailler à la création des ZAC, les zones d'aménagement concerté. Au cours de l'instruction, mes collègues ont consulté un certain nombre d'autres services sur des questions de paysage, sur des questions de respect de la loi sur l'eau, sur un certain nombre de procédures que la ZAC encadre. La particularité de ces ZAC en Seine-Saint-Denis c'est qu'on n'est pas parti d’une terre vierge. C'étaient des territoires habités, des territoires qui vivaient avec des entreprises, pour certaines qui périclitaient, pour certaines qui étaient déjà en friche, d'autres qu'il a fallu accompagner dans le déménagement. »

Bertrand Taldir, chargé de mission Jeux olympiques et paralympiques au sein de de l’unité départementale 93 de la DRIEAT.

« Le village des athlètes, c’est en réalité un grand quartier résidentiel mixte. La Solideo s'assure de la livraison des ouvrages pérennes et donc, finalement, elle ne construit pas pour les Jeux, elle construit, à l'occasion des Jeux des quartiers, des bâtiments qui ont vocation à rester et à r��pondre chacun à des usages précis. »

Antoine du Souich, directeur de la stratégie et de l'innovation à la Solideo

Une démarche de ville durable

« On a eu recours au bois pratiquement dès qu'on le pouvait. Donc à peu près la moitié des immeubles sont en structure bois. Pour le béton, on a généralisé le béton bas-carbone ou ultra bas-carbone. Le tout cumulé nous a permis de faire baisser les émissions de carbone sur la partie construction en tant que telle de plus de 30 %. C'était un des deux piliers avec le fait de décarboner l'usage du bâtiment de l'ordre de 70 %. Et donc à l'arrivée, avec ces deux piliers de la stratégie bas-carbone, on a un village des athlètes qui est décarboné de plus de 45 % par rapport à des constructions classiques. »

Antoine du Souich, directeur de la stratégie et de l'innovation à la Solideo

Enregistrement du podcast Parcours olympique avec Antoine du Souich au village des athlètes

Une empreinte carbone réduite également grâce à l’utilisation de la logistique fluviale.

« Le village des athlètes a été construit en partie autour du fleuve et l'enjeu, pour nous comme pour la Solideo, c'était de se dire : on reconstruit la ville en bord de Seine, on utilise le transport fluvial qui a des qualités environnementales évidentes. Le transport fluvial, par rapport au transport routier, c'est 4 à 5 fois moins d'émissions de gaz à effet de serre à la tonne transportée. En phase chantier, c’est 500 000 tonnes de déblais qui sont parties en transport fluvial, soit l'équivalent de 30 000 camions évités sur les routes. »

François Houix, chef de projet Jeux de Paris 2024 à Voies navigables de France (VNF)

Découvrez l'atout de la logistique fluviale avec les agents de VNF

Enregistrement de podcast avec François Houix sur le quai du Châtelier aux abords du village des athlètes.

À l'issue des Jeux, le village des athlètes et le village des médias seront transformés en quartier d'habitation, labellisé éco-quartier. En tout 4 000 logements entièrement accessibles et aux meilleurs standards écologiques bénéficieront au département et à ses habitants.

Des épreuves olympiques et paralympiques en Seine

Pour la première fois depuis 100 ans, grâce au plan baignade, la Seine a à nouveau accueilli des baigneurs. Pendant les Jeux, le fleuve parisien s’est transformé en bassin olympique pour les épreuves de triathlon, nage marathon et para triathlon. Des épreuves rendues possibles grâce au travail collectif mené par les équipes de la DRIEAT en collaboration notamment avec la ville de Paris, Haropa Port, VNF, le SIAAP* et Paris 2024.

* SIAAP : syndicat Interdépartemental pour l'assainissement de l'agglomération parisienne

« Le plan baignade, élaboré en 2016, vise à rendre la Seine baignable pour les épreuves de triathlon et de nage marathon. Ce plan d'action est copiloté par la ville de Paris et l'État. Le rôle de la DRIEAT a été de contribuer à la construction du plan d'action, définir les mesures techniques à mettre en œuvre, suivre l'avancement et s'assurer de la coordination de l'ensemble des acteurs. »

Clément Fabre, chef de projet baignade au sein de la DRIEAT

Comment améliorer la qualité des eaux de la Seine et de la Marne ?

Clément Fabre, chef de projet baignade au sein de la DRIEAT

Une opération collective de nettoyage

« Le rôle de la DRIEAT a été de coordonner l'ensemble des interventions de nettoyage des acteurs. En amont, les barrages flottants du SIAAP retiennent les déchets flottants. La ville de Paris intervient sur les quais et les berges. Haropa port intervient en complémentarité de la ville de Paris sur certains quais et berges, et VNF sur les quais dont ils ont la gestion. Et puis il y a les bateliers avec qui un travail de sensibilisation a été mis en place pour qu'ils puissent nettoyer les déchets qui se retrouvent coincés entre le bateau et les quais. »

Sarah Bernhard, chargée de mission Jeux olympiques et paralympiques à la DRIEAT

Plongez dans les coulisses de la baignabilité de la Seine avec la DRIEAT

Enregistrement de Parcours olympique avec Sarah Bernhard sur le site des épreuves de triathlon et de para triathlon.

Grâce au travail des agents de la DRIEAT et de l’ensemble des acteurs impliqués, les épreuves olympiques de triathlon, nage marathon et para triathlon ont pu se tenir en Seine. Un beau succès pour les équipes qui ont œuvré depuis des années dans l’atteinte de cet objectif mais également pour le triathlon et le para triathlon français qui ont brillé par leurs résultats.

Pont Alexandre III, ligne de départ des épreuves olympique et paralympique de triathlon.

« Tous ces travaux engagés ont profité aux Jeux, mais vont également améliorer la qualité globale de la Seine. Ça va permettre de renforcer sa résilience face au changement climatique, par exemple. Pour les JO on a fait un certain nombre de choses, mais ce n'est pas que pour les JO, ça va servir à la Seine et ça va servir aussi aux Franciliens, qui, à terme, vont pouvoir revenir se baigner en Seine, ce qui n'est plus possible depuis un peu plus de 100 ans. »

Clément Fabre, chef de projet baignade au sein de la DRIEAT

À terme plus de 30 sites seront ouverts à la baignade en Île-de-France.

Une marina olympique à Marseille

Les épreuves de voile qui se sont déroulées à Marseille ont été un succès pour les équipes de voile françaises mais également pour les agents la direction départementale des territoires et de la mer des Bouches-du-Rhône (DDTM 13). Transformer la base nautique du Roucas Blanc en marina olympique a été source de nombreux défis pour les agents de la DDTM 13.

Un bassin olympique au carrefour des usages de la mer

La particularité des épreuves de voile est que le bassin où se déroulent les Jeux, le field of play, est le seul endroit au monde où les équipes peuvent venir s'entraîner. Chacune des rades a ses propres particularités, c’est pourquoi les équipes de voile de toutes les nations ont l'habitude de venir trois ou quatre ans avant, juste après les Jeux précédents, pour s'entraîner sur ce qui sera leur futur bassin de compétition pour les Jeux olympiques suivants. À Marseille, ces entraînements ont provoqué une suroccupation de la rade sud. Les athlètes ne sont pas les seuls usagers de mer, il a donc fallu réguler ce trafic et trouver des solutions pour tous. C'est tout le travail qu'ont mené pendant près de trois ans les agents de la DDTM 13, notamment l'unité littorale des affaires maritimes (ULAM).

« On a dû dans un premier temps réaliser une phase de concertation et d'acceptation du projet. On a donc réuni les différents usagers de la mer pour pouvoir leur exposer nos besoins en tant que porteur de projets et répondre à leurs interrogations, les informer aussi. Cela nous a permis de désamorcer les potentiels conflits d'usage. »

Ahmed Malki, chef du pôle maritime à la DDTM 13

Un héritage olympique pour les Marseillais

« Les Jeux olympiques ont été une opportunité pour la ville de Marseille de rénover entièrement la base parce que cette base était très ancienne, constituée de bungalows, d’algécos, avec des immeubles assez anciens qui n’étaient plus du tout aux normes environnementales. Là, on a un vrai équipement moderne pour accueillir notamment le centre municipal de voile qui permet aux enfants toute l'année de pouvoir pratiquer la voile à Marseille. L'autre héritage important, c'est le pôle France d'entraînement des athlètes de haut niveau qui trouvent là un équipement vraiment de très haute qualité. »

Alain Ofcard, directeur adjoint et délégué mer et littoral à la DDTM 13

Escale à Marseille avec les agents de la DDTM 13

Au large de la marina olympique, enregistrement du podcast avec Ahmed Malki.

La biodiversité des sites de compétition préservée

Avant tout aménagement, travaux ou manifestation temporaire, les enjeux environnementaux doivent être anticipés. C’est pourquoi une étude d'impact est réalisée pour prendre en compte l'ensemble des enjeux, dont la biodiversité. Une évaluation à laquelle les sites olympiques sont soumis.

Des espèces à protéger

« Pour préserver la biodiversité, on a un tas d'outils. On a des espaces qui sont identifiés pour leur biodiversité importante mais également des espèces qui sont protégées. Ces espèces protégées, elles peuvent être présentes partout. Et la législation, c'est qu'on n'a pas le droit d'y porter atteinte, de les perturber, de les déplacer, de mettre en péril leur reproduction, etc. Sauf quand on peut mettre en avant un intérêt public majeur, ce qui était le cas pour les Jeux olympiques, et que l’on s’engage à mettre en place des mesures compensatoires pour que, in fine, on ne remette pas en question la pérennité de l'espèce et le bon accomplissement de son cycle biologique. »

Lucile Rambaud, cheffe du service nature et paysage à la DRIEAT

Le site de compétition de Vaires-sur-Marne et le blongios nain

Sur le site olympique de Vaires-sur-Marne avec Lucile Rambaud, lieu de reproduction d'une espèce protégée, le blongios nain.

Protection des espèces protégées mais également des sites classés. Pendant les Jeux, 6 sites classés ont accueilli des sites olympiques et paralympiques sur les 25 sites classés que compte Paris.

Des sites classés à préserver

« Les épreuves olympiques, c’est un gros événement qui nécessite des installations temporaires, des énormes tribunes avec des stades, des mètres et des mètres de tentes qui vont servir pour l'accueil des athlètes, leur entraînement, et toute la logistique autour de cet événement-là. On a deux grands principes, c’est d’essayer de faire en sorte que les installations temporaires s'intègrent au mieux à la composition paysagère et historique du site, dans le respect des perspectives, dans la symétrie, mais également aussi tout ce qui est l'impact sur l'état lui-même du site, c'est-à-dire autant les sols que les arbres. »

Florence Mottes, inspectrice des sites classés à la DRIEAT

Une offre de mobilités anticipée en Île-de-France

Les Jeux ont représenté un important challenge pour le secteur des transports. Durant les périodes de compétitions olympiques et paralympiques, l’objectif était d’assurer une mobilité fluide aux voyageurs du quotidien, aux athlètes, aux para athlètes, aux bénévoles, aux médias, aux spectateurs et aux personnes à mobilité réduite.

L'organisation transport de ces Jeux, un important défi logistique

« C'est un énorme défi d'organisation de la chaîne de transports d'une manière générale, à la fois pour déplacer les visiteurs et les spectateurs des Jeux et les voyageurs du quotidien qui vont continuer à vivre leur vie. C'est un enjeu très important de réussir à concilier ces deux usages. Et puis, les déplacements des marchandises qui vont à la fois alimenter l'ensemble des sites de compétition, mais évidemment aussi alimenter la vie de la cité tout simplement. Tous ces aspects ont été à penser, anticiper en amont. »

Florent Bardon, coordonnateur national des mobilités pour les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024

« À la DGITM, on a coutume de dire que les Jeux olympiques, c'est l'équivalent d'une quarantaine de coupes du monde en simultané. On a 10 000 000 de billets à la vente. On a 500 000 spectateurs dans les transports collectifs ou sur leur vélo tous les jours. Et 200 000 accrédités également, qui rejoindront les différents sites de compétition sur l'ensemble de la France avec une forte concentration en Île-de-France. »

Sophie Le Pourhiet, cheffe de projet de la préparation du volet transports des Jeux olympiques et paralympiques à la DGITM

Une campagne de communication pour anticiper les déplacements

Pour assurer la fluidité des déplacements pendant les Jeux l'offre de transports a été augmentée en moyenne de 15 % et un travail sur la gestion de la demande a été mené. Objectif : diminuer ou modifier la demande de transports. Cette gestion de la demande a pris la forme d'une importante campagne de communication.

« Anticiper les Jeux, c'est une vaste campagne de communication qui s'appuie sur un site internet éponyme dans lequel tous les Franciliens ont accès à l'information disponible en matière de transports, toutes les prévisions d'affluence sur les lignes, dans les gares et les stations pour que soit diminuée ou modifiée la demande. »

Odile Roussillot-Besnard, directrice adjointe du Travel Demand Management

Des Jeux accessibles pour tous

Dès les prémices de la candidature, l'État a souhaité que les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 soient les plus accessibles possibles. L’accueil des Jeux a contribué à l'amélioration de l’accessibilité dans les transports en commun et sur les routes.

  • Pendant les Jeux, 200 navettes mises à la disposition des personnes en fauteuil depuis cinq grandes gares parisiennes et qui ont desservi l'intégralité des sites de compétition
  • 1 000 taxis accessibles aux personnes en fauteuil roulant, en région parisienne, pour l’été 2024 (contre 250 en 2022)
  • Une accélération de la mise en accessibilité du réseau métropolitain pour tous les types de handicap, notamment sensoriels

Les transports, c'est aussi des agents des routes qui veillent à notre sécurité et à la fluidité du trafic

« Nous avons été très impactés pendant les Jeux olympiques parce que, d'une part, un certain nombre de sites sont directement desservis par nos autoroutes, que ce soit la piscine olympique ou le stade de France, et parce qu'il y a aussi des sujets transports avec tous les athlètes qu'il a fallu acheminer de l'aéroport vers le village et ensuite vers des sites olympiques.
En parallèle le réseau continue à fonctionner 24h/24, 7j/7 y compris pour les usagers d’Île-de-France et le moindre incident sur ce réseau aura un impact sur le trafic, y compris des délégations. »

Thomas Walliser, chef de l’arrondissement de gestion et d’exploitation de la route nord, DIR Île-de-France

Thomas Walliser, chef de l’arrondissement de gestion et d’exploitation de la route nord, DIR Île-de-France

Les premiers Jeux cyclables

« Pour pouvoir en faire les premiers Jeux cyclables de l'histoire, on a dessiné ce qu'on appelle un réseau cyclable olympique qui relie l'intégralité des sites de compétition franciliens. Et donc ce réseau est un réseau de 400 kilomètres en continu et qui s'appuie sur une partie du réseau qui était déjà réalisée, une partie qui était en projet pour 2024 et dont la réalisation, une fois de plus, a été accélérée pour l'horizon des Jeux. »

Sophie Le Pourhiet, cheffe de projet de la préparation du volet transports des Jeux olympiques et paralympiques à la DGITM

Une parade fluviale inédite en cérémonie d’ouverture des Jeux

Des Jeux accélérateurs du verdissement de la flotte fluviale

« Cette parade mobilise des bateaux de tous horizons, de la Seine mais pas que. Il y a d'autres bateaux, d'autres bassins qui ont été mobilisés pour participer à cette parade. Et parmi ces bateaux, près de 35 sont rétrofités ou sont neufs et naviguent à l'électrique. Ce qui est une très belle performance parce que transformer des bateaux ou en construire en deux ans, c'est quasi impossible. Et pourtant, les opérateurs fluviaux se sont mobilisés. Ils y sont arrivés avec les chantiers, avec les bureaux d'ingénierie et nous, VNF, nous avons participé au financement de ces projets-là pour accompagner et accélérer cette dynamique. »

Cécile Cohas, responsable de la mission recherche innovation et référente nationale sur les sujets de transition énergétique à VNF

La vedette de Voies navigables de France au cœur de la cérémonie d'ouverture

La vedette de Voies navigables de France, Le Rhône, a été le seul bateau représentant l'État lors la parade fluviale de la cérémonie d'ouverture du 26 juillet.

« Il y a maintenant un an et demi, ça a été un dossier qui a été déposé. Et puis, il a été choisi pour participer à la parade des Jeux olympiques. Ça va être le seul bateau de l'État, les autres bateaux seront tous des bateaux privés. Et puis pour moi, c'est un grand honneur de participer. On m'aurait dit il y a quelques années que j'allais finir ma carrière en participant à l'ouverture des Jeux olympiques, je n’y aurais pas cru. »

Pascal Beauquis, capitaine de la vedette Le Rhône

Immersion à bord de la vedette Le Rhône

À bord de la vedette de Voies navigables de France avec son capitaine, Pascal Beauquis

Médaille d'or de la ténacité pour les équipes de la DRIEAT

Les Jeux olympiques et paralympiques de Paris, c’est 80% des épreuves qui se sont déroulées en Île-de-France. Pour faire de ces Jeux une réussite, les équipes de la DRIEAT ont été fortement mobilisées durant les périodes de compétition mais également bien en amont, certaines depuis près de 7 ans ! Parmi les nombreux sujets suivis par les équipes, l'un des plus marquants est sans nul doute la baignabilité de la Seine.

Les équipes de la DRIEAT

Soutien olympique de la DICOM et du SHFDS

Communication, anticipation, veille et gestion de crise, les équipes du secrétariat général (DICOM et SHFDS) étaient au rendez-vous des Jeux olympiques et paralympiques !

Depuis l'hôtel de Roquelaure, les communicants du secrétariat général ont assuré l'information de tous les publics en amont et pendant les périodes de compétition. Sur le terrain, ils ont recueilli les témoignages de ceux qui ont rendu ces Jeux possibles.

Les équipe de la DICOM et du SHFDS

Au centre olympique de Roquelaure (COR), les équipes de la DICOM et du SHFDS aux côtés des directions générales et régionales, des services déconcentrés et des établissements publics du ministère ont contribué au bon déroulement des Jeux de Paris 2024.

Focus : le centre olympique de Roquelaure

Le COR constitue le dispositif de suivi et, si besoin, la salle de crise pour les sujets liés aux Jeux olympiques et paralympiques pour les domaines de compétence du ministère ainsi que l’énergie. Mis en place par le SHFDS, il a été armé du 13 juillet au 9 septembre.

Les équipes du COR sont chargées de la synthèse des remontées d’informations vers les autorités et des échanges avec les officiers de liaison du SHFDS présents au centre national de commandement stratégique (CNCS), entité interministérielle de suivi des Jeux animée par le ministère de l'Intérieur.

Bravo et merci à l'ensemble des agents mobilisés en Île-de-France et sur l'ensemble du territoire !

Crédits

Textes : Cyrielle Pineda, DICOM MTECT - Podcast : Tatiana Geiselman, Citizen ; Leila Moritz, DICOM MTECT ; Cyrielle Pineda, DICOM MTECT

Photos : Ivan Guilbert / Terra ; Arnaud Bouissou/ Terra ; Damien Valente/ Terra ; Manuel Bouquet/ Terra ; DDTM 13, DRIEAT ; H.Hamon / MSJOP; Paris 2024.