Ci-dessus : Genève, aéroport de Cointrin, embarquement, image classique !
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Pour la 61e fois au Maroc…
34°N 4°W… c’est le but de ce nouveau voyage dans ce pays que j’aime tant, découvert il y a 50 ans tout juste. L’explication de ces coordonnées sera pour demain.
Caroline Bonaparte épouse du flamboyant Joachim Murat, reine de Naples, aurait adoré cette teinte turquoise pâle. J’ai déjà les plumes, je cours chez Bréguet, fournisseur attitré du général Napoléon Bonaparte, un homme de goût ;-)
Comme la météo était clémente, ciel dégagé, quelques brumes matinales avant Salé, juste pour nous faire peur de devoir aller poser à Marrakech, comme l’année dernière, attendre que le brouillard (comme dans le bas autrefois) se dissipe, puis revenir atterrir à Rabat-Salé. Mais rien de tout cela et c’est avec 20’ d’avance sur l’horaire prévu que nous sommes arrivés à l’aéroport de la capitale marocaine.
De l’ombre (au décollage) à la lumière, vue sur Tarifa et Gibraltar.
Puis sur la lagune de Moulay Bousselham…
Avec un 360°en descente, je n’avais pas bien vu !
Pas trop de deux pour un atterrissage impeccable.
L’équipe suisse de football des moins de 15 ans qui affrontera demain celle du Maroc. Dommage nous y serions allés.
Rabat sera donc le point de départ de cette 61e édition, vers l’Est tout d’abord.
Parcours prévu 995 km, mais encore sujet à modifications.
Le parcours du jour, Rabat > Taza, 317 km.
Tout s’organise parfaitement et après récupération d’une Duster (pas de dépaysement) nous mettons cap sur Taza, par l’autoroute A2. Comme partout quelques travaux, mais rien de grave et très peu de circulation. Le pass Jawaz n’a été débité que de 87 dirhams (environ 7,7 francs suisses) pour 317 km. Des aires d’arrêt ultra-propres, vitesse maximale 120, et attention aux radars, les policiers ayant les “ gâchette “ facile !!
Les rues pavoisées pour la commémoration de la Marche verte du 6 novembre 1975, avec les non-moins célèbres lampadaires marocains, différents dans chaque ville.
De chaque côté de cette voie rapide, des cultures à perte de vue, mosaïques de bruns, de jaunes, d’ocres, de blancs, de roses… fraîchement labourés, mouchetés d’oliviers en pleine période de cueillette. Paysages de sable.
Les chats du jour…
Ceux de la rue et ceux du restaurants, tous bien nourris : le patron de la ruelle déserte, le pleurnicheur derrière les grillages et les mendiants du restaurant…
Taza, derrière les murs de cette rue calme, je ne sais même pas s’il est surmonté d’une coupole, sidi ali derrar, aux délicates couleurs pastel.
La phrase du jour ;
Le Maroc est un pays froid où le soleil est chaud (rapporté par Philippe).
Hébergement à Taza, au Nord de la ville, tout est plein ailleurs, cher, pas de restaurant, piscine fermée, caramba, pas tout à fait digne de ses étoiles. Mais personnel très sympathique.
Credits:
dominique wacker-cao