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MAROC*61 > J7 Lundi 18 novembre 2024 : Berrechid > Rabat

Ci-dessus : Sidi Ahmed Andour, détail.

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Pour la 61e fois au Maroc…

Le 1er parcours du jour : Berrechid > Rabat, 151 km.

Juste avant de quitter ce nouvel et bel hôtel Hariz Son, une photo de groupe prise par le directeur de la restauration. De gauche à droite le directeur de la partie hôtelière, le chef, qui nous a concocté un repas au pied levé et la responsable de la réception. Il manque le Président qui nous a si bien accueillis. Tous éminemment sympathiques. Nous étions les premiers clients officiels de cette nouvelle offre touristique à Berrechid, nous y reviendrons c'est certain.

La phrase du jour...

" Je t'aime jusqu'à la mort des batraciens ! "

Ça c'est de la déclaration, l'on ne doit pas y résister !

Les couleurs du Maroc, l'on ne s'en lasse pas.

Encore des travaux !!!

Face à la plage de Bouznika, j'ai pensé que c'était un mausolée. Apparemment pas, un monsieur bien sévère m'a dit que c'était le poste de police. J'en doute encore !!!

Une jolie demeure dans la partie chic de Bouznika !

Pendant que l'on déguste quelques poissons, la mer se démonte, l'orage menace.

Arrêt-nostalgie à Temara, les Sables d'Or, au 109 plage Sidi Abed, où nous avons vécu 4 mois de février à mai 1985 !!

Encore quelques gouttes à l'entrée de Rabat, mais aussi 7 couleurs annonçant le beau temps.

Carine adoooooore les phares...

Un bien connu, celui de Rabat, mais il ne faut pas faire la fine bouche, ce sera le seul du séjour !

Lorsque l'on retrouve Rosaliette c'est que l'on est bien arrivé au riad Marhaba. C'est la première fois que l'on dort au rez-de-chaussée et c'est là, dès sa prime jeunesse, qu'elle a vécu. Elle attend de pouvoir rentrer afin de boire au robinet ! Recueillie dans la rue par les propriétaires, en 2015, au moment de leur installation au riad. Elle fait partie des meubles... mobiles !

Lors de la petite balade de 3 km dans la medina... j'ai hésité à acheter cet accordéon !

Le parcours, afin d'aller dîner au bord de mer, dans ce restaurant que l'on apprécie beaucoup car les poissons et fruits de mer y sont variés et délicieux : Borj Eddar.

Et nous avions un spectacle permanent avec un orage effroyable. Une nouvelle fois au sec, nous avons eu de la chance. Mais, malgré de nombreuses minutes à essayer de capter un éclair, seul celui-ci était " dans la boîte ".

Et des marabouts bien sûr...

Un connu, photographié par Ingrid en 2016, depuis l'autoroute, mais l'on ne distinguait que des buissons. Nous avions bien évalué le lieu et je l'ai retrouvé sans problème cette année. Le N° 487, Berrechid, Moulay Bouazza.

Oulad al Arabi, Sidi Salah.

Douar Oulad Hadda, Sidi Ahmed Andour.

Oulad Azzouz Touala, ?.

Bouznika, Sidi al Saghir Ibn Abd al Rahman.

Le dernier de la journée, sur le chemin du retour, déjà vu l'année dernière, Sidi Ahmed Bin Abdelkader.

Et notre incontournable hébergement à Rabat, où l'on est accueillis comme à la maison, avec propriétaire et des employés fantastiques.

Credits:

dominique wacker-cao

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