Ci-dessus : Agadir, aéroport al Massira!!
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Pour la 60e fois au Maroc…
Pour une fois nous évitons le lever aux aurores (merci Catherine, c’est vrai que c’est agréable) et inaugurons un nouveau trajet par un vol Genève > Agadir ! Cela nous permet d’éviter la traversée des cols pour rejoindre le Sud. Le wagon-restaurant (merci Viviane) apporte tout de suite un air de vacances, avant de retrouver Valentine à l’aéroport.
GVA, compagnie EasyJet : à la porte d’embarquement, un des responsables me demande où je vais… Marrakech dis-je. Mais Madame il n’y a pas de vol sur Marrakech. Si si voici ma carte… ah mais non, premier lapsus, c’est bien sûr Agadir ! Les habitudes sont corriaces.
Après moult problèmes, genre : je passe la carte de Valentine pour la mienne, le bagage de Catherine ne veut pas décoller du tapis roulant pour cause de bagage encombrant, 14 kg quand même !! Evy doit passer impérativement au tapis 1 ! Comme si c’était la première fois que nous voyagions. Deux bouteilles de Martini et une de Campari plus tard, nous avons juste le temps d’arriver à la porte C59, pour monter fissa dans le bus puis l’avion.
Valentine nous offre le Prosecco et vin blanc afin de fêter mon 60e voyage vers mon pays chéri. Accompagnés des sablés au fromage de chèvre de Zannie. Faisons trop de bruit tellement heureuses de nous retrouver ici. Les voisins râlent chouia mais pas trop quand même.
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Soleil couchant sur le tarmac d’Agadir, encore bien chaud après les 32º de la journée.
Récupération du véhicule, Duster noire, quasi neuve, 11713 km au compteur, puis en route avec le chauffeur du matin, oui c’est bizarre, mais nous ne sommes pas encore bien organisées, pour rejoindre un Carrefour et faire le plein de… vin. Après vérification de l’heure de fermeture, 23 h, nous sommes amplement dans les temps. Et pourtant, pourtant… La Cave, elle, ferme à 20 h !!! Caramba, nous voilà bien. Heureusement la valeur sûre qu’est la Vache-qui-Rit au gouda, est toujours en vente. Et selon Valentine, pour le vin, si ya ya si yapas yapas !! C’est si joliment dit.
Le Petit Paradis de Sidi Bibi (Monsieur Dindon) nous attend, vite vite photo de groupe à travers la fenêtre et yalla au repas, il est déjà 22 h. En arrivant, avec Catherine, nous trouvons que notre h��te ressemble à notre Paul de la Courbine d’Argent. Et bien cet hôte bien sympathique s’appelle Paul !!
Tajin délicieuse préparée par Maha, la femme de Paul, suivie d’un pousse-café corse, cerises séchées marinées dans l’alcool. Nous allons bien dormir.
Crédits :
©dominique wacker-cao