Ci-dessus : le Eichhörnchen de la Sovana.
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Journée particulière de mi-séjour où nous ne voulons pas faire grand’chose. Si, hier, nous avions sacrifié le tennis pour les bains, aujourd’hui nous reprenons le chemin du court pour notre entraînement matinal. Nous avons bien ri, mes services étant lamentables, une sérieuse mise au point s’impose !
Le ciel est bas - la capa disent-ils ici - saturé de sable saharien, d’humidité et de chaleur. Mais c’est avec grand courage que nous prenons le chemin de Cetona, très près de Sarteano. Déambulation dans les ruelles, chez le potier, l’antiquaire, le tailleur pour terminer par un arrêt gelati. Zut ils viennent d’arrêter la machine pour la nettoyer. Mais quelle idée !!!
Escaliers menant à un château privé, belle demeures bien arborées, topiaires, jardins de plantes aromatiques, une grande place où se tient le marché le samedi, font de Cetona un endroit paisible pour une agréable promenade.
Un jeune minet voudrait jouer mais fait le timide.
De retour pour un grand plouf après ce petit effort, notre écureuil préféré (une pensée pour Andreas et Elsbeth) nous attend au portail de La Sovana.
Après le plouf (et même plusieurs en cette après-midi de repos), la revanche à la pétanque. Les dames sont en grande forme mais c’est de haute lutte que l’on a battu adversaires. Normal, Margaret nous avait souhaité “ good luck “ ! résultat 2 à 1. Trop concentrée je n’ai même pas immortalisé l’événement :-(
Le soleil se couche, les lumières du domaine s’allument, c’est l’heure du repas.