Ci-dessus, Nantes, statue de Pierre Cambronne, vrais ou faux ses deux célèbres mots ? En tout cas un fidèle de Napoléon.
" Cambronne, on y pense avec peine, Ne se montra pas bien français : Crier aux ennemis le mot qui porte veine, C'était fatalement assurer leur succès. " de Tristan Bernard
Cliquer sur les photos pour les agrandir ou les réduire, fonctionne aussi sur smartphone.
8ème jour :
Saint-Brevin-les-Pins > Nantes : 60 km
Sur le trajet du retour, en traversant la plaine au Sud de l'estuaire, nous revoici de nouveau au Pellerin, cette fois-ci en attente du bac, qui circule toutes les 20 minutes, pour rejoindre la rive droite de la Loire.
L'un des 5 Sémaphores, oeuvre de Vincent Mauger, sur l'ìle de Liberté, d'où j'ai une vue magnifique sur le " piche-nique " du jour.
Couëron, le leurre du 30 septembre est en effet une tour à plomb, permettant de fabriquer des plombs de chasse. La technique consistait à utiliser du plomb fondu, légèrement durci et de le laisser tomber du haut de la tour, à travers une grille calibrée. La chute donnait au plomb une forme sphérique, refroidi en fin de course dans un bac d'eau. Cette tour de 69 m de hauteur fut mise en service en 1878.
La cheminée de l'usine pour le traitement et l'incinération des déchets. Ce n'est pas non plus un phare !!!
" Maison dans la Loire ", oeuvre de Jean-Luc Courcoult, installée en 2012 dans le cadre de la biennale d'art contemporain " Estuaire Nantes à Saint-Nazaire ".
Nantes, accueillis, au terme de notre périple cycliste, par le général de brigade, le comte Pierre Cambronne, fidèle de Napoléon. Le plus dur restera sûrement à faire... le trajet Nantes > Tours en train !
Nantes, la cathédrale Saint-Pierre-et-Saint-Paul, construite de 1434 à 1891, a voulu imiter sa grande soeur de Paris Partiellement détruite par un incendie d'origine criminelle le 18 juillet 2020, elle est en cours de restauration.
Le blason des ducs de Bretagne et la cour intérieure du château.
Les beaux candélabres de la place Graslin (receveur général des fermes du roi Louis XIV).
Crédits :
©dominique wacker-cao