MAROC*64 > J3 Lundi 3 novembre 2025 : tanja > rabat

Ci-dessus : Cap Spartel, mariage entre Méditerranée et Atlantique!!

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Pour la 64e fois au Maroc…

Tanja > Rabat :  292 km.

Avant de quitter ce bel hôtel aux charmes désuets, du temps où les voyages en automobile étaient un signe de richesse et d’aventures.

Le premier des quatre phares du jour, celui du cap Spartel, mis en service en 1864, fut témoin de nombreuses batailles et naufrages. Rénové récemment il est devenu un lieu touristique très fréquenté (évidemment puisque le seul où l’on peut grimper jusqu’à la lentille). Ouvert toute la journée contrairement aux indications du site Web. La longitude du phare, 5° 55’ O, marque la limite Ouest de la mer Méditerranée.

Quelle chance, de nos jours c’est permis !

Les pendeloques du superbe lustre.

Les zelliges de l’ escalier.

Le capitaine au sommet.

Le Maroc dans toute sa longueur…

… avec l’Espagne juste en face.

Les dernières marches.

Le carrelage d’entrée de la tour.

Au milieu de la cour, le reflet de la tour dans la fontaine, où jaillit une source.

La pause lecture

… un oiseau rescapé !

Quelques 10 kilomètres au Sud du cap Spartel, un arrêt incontournable depuis que je l’ai découvert (merci Viviane), avec Claude en 2022. Chez Abdou, le restaurant de la forêt diplomatique, nom donné en raison de l’ancienne fréquentation de ce lieu par les diplomates internationaux. Les pieds dans l’eau, face à l’océan, décoration originale, tout cela se paie assez cher. Il faut aimer le poisson car le marchand de glace a déjà fermé boutique !

Larache : ce thème inspire aussi les artistes.

Photographié au musée du Cap Spartel.

Par de chance pour ce deuxième phare, tout est fermé et personne à soudoyer.

En longeant les murs l’on arrive quand même à une cour, où, en m’étirant au maximum je peux en voir un peu plus.

Les rideaux sont tirés afin de protéger la lentille du soleil, signe de son activité.

Le linge sèche dans la brise océane servant d’ombrage aux malins minets !!

Moulay Bousalham : les cultures de fraises, les meilleures du Maroc… autrefois. Maintenant sous couches, pleines d’eau lorsque nous les avons goûtées en 2022.

Phare de sidi al Hâchimi al Bahrâwi, que n’avons jamais trouvé. Et pourtant nous en étions très près lors de la visite au marabout du même nom, voir ci-dessous.

Photo extraite du site de la liste des phares marocains.

Mehdia, la luminosité originale des feux de signalisation !

Phare de Mehdia, le quatrième et dernier phare du jour, juste à l’heure avant la nuit complète. Malgré l’aide d’un passant et ses nombreux téléphones, impossible de trouver quelqu’un de disponible. Il faudra revenir de jour. En tout cas un grand merci.

Photographié au musée du Cap Spartel.

Riad Marhaba : depuis 10 ans, l’accueil de la fidèle Rosaliette.

Rabat : le phare de la Calette, Amin, le gardien nous a laissé entrer mais pas monter !

Et déjà des marabouts…

Phare du cap Spartel : marabout non-identifié, un subterfuge si jamais je n’en trouvais pas d’autres. Une assiette décorative sur le mur d’entrée.

N° 668, Sidi Alla Tazi, Sidi al Hâchimî al Bahrâouî

N° 985, un nouveau, Msara, ?

N° 986, un nouveau, Msara, ?

N° 714, Oulad Zian, Sidi Asal qui a bien perdu de sa superbe, depuis 5 ans !

CRÉÉ PAR
dominique wacker-cao

Crédits :

©dominique@docker.ch