Ci-dessus : musée de Marengo, à la hussarde !
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426 km pour une halte à Alessandria, sur le chemin du retour.
La citation du jour : " beau menace ", Viviane Lüthi !
Sur les cyprès, les chaises, la vigne vierge... le ciel pleure notre départ !
Les dernières photos avec les connaissances néerlandaises que l’on retrouve chaque année, Viviana, du staff administratif et ses si bons conseils de visites cherche désespérément à qui appartient ce chapeau et les grilles de La Sovana qui se ferment jusqu’à la prochaine fois, l’heure du retour a sonné.
Interpellée par la police pour une photo : au milieu d’un rond-point très fréquenté à l’entrée de Marengo trône cette statue. Comme elle était entourée de fils électriques j’ai traversé toutes les voies pour me rendre en son centre. Quant a surgit un véhicule de police, dont le conducteur d’un ton péremptoire m’a crié dans son micro de revenir immédiatement. Je me serais crue au Maroc, il avait aussi une caméra sur la poitrine et finalement après m’avoir dit que c’était très pericoloso m’a laissée partir avec un sourire, comme là-bas dit ! Ouf !
Quelques centaines de mètres plus loin, un autre arrêt pour immortaliser cette colonne surmontée de l’aigle napoléonienne, inaugurée en 1801.
Le musée de Marengo dont l’entrée en forme de pyramide, rappelle celle que Napoléon avait fait construire et inaugurée le 5 mai (si, si) 1805, vêtu des mêmes habits qu’il portait le jour de la bataille. Entourant le buste de Napoléon, une citation de Le Corbusier, traduite en plusieurs langues.
La répartition des pays en 1800.
Le déplacement des troupes convergeant vers Marengo.
Le contenu du sac à dos, 30 kg contenant tout le nécessaire !
Pour arriver par surprise en Italie il fallait, comme nous, passer le col du Grand-Saint-Bernard, c’était le 20 mai 1800, dans d’effroyables conditions…
Le premier consul sur une mule, mené par le guide valaisan Nicolas Dorsaz.
Drapeau du 43e Régiment d’Infanterie de Ligne.
Après Aosta, le siège du fort de Bard.
Le premier consul, Bonaparte.
Le général en chef et futur prince de… Neuchâtel !
Le dernier renfort le principal artisan de la victoire. Hélas tué lors de la bataille.
Le flamboyant général, beau-frère de Bonaparte.
Jean de-Dieu de son prénom, certaines s’en souviennent bien !
Le fils de Joséphine, adopté par Napoléon.
Général autrichien qui deviendra à la mort de Napoléon le deuxième époux de l’Impératrice Marie-Louise.
Alessandria, fief de ces chapeaux devenus si célèbres.
Parc du couvent franciscain fondé en 1210 lorsque François d’Assise a visité ces lieux. En piteux état ! Il est dédié à Michele Pittaluga, pharmacien et chimiste et créateur du festival international de guitare d’Alessandria.
Oh mince alors, le restaurant Napoléon est fermé… à mon grand dam, nous avons dû nous rabattre sur un établissement où l’on ne sert que du poisson, caramba !
Crédits :
©dominique wacker-cao