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MAROC*61 > J4 Vendredi 15 novembre 2024 : Fes > Boufakrane

Ci-dessus : Boufakrane… même un marabout dans l’enceinte de l’hôtel !

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Pour la 61e fois au Maroc…

Le parcours du jour : Fes > Boufkrane, 162 km

Difficile de quitter le Riad Fes Nass Zmane et ses si agréables employés et directeur.

Les peintures murales avec l’inévitable équipe de football locale.

À Fes les taxis sont rouges…

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Sur la route…

À la cité thermale de Moulay Yakoub, je cherche deux marabouts, le mari et sa femme. À travers les ruelles en pente et grouillantes de personnes se rendant aux bains, ce n’est pas très aisé.

Le chat du jour…

Mais avec marabout à Moulay Yakoub.

Boufakrane, arrivés dans cet endroit idyllique qu’est Château Roslane, vite vite une trempette avant la visite des chais et la dégustation de la production.

L’ancien bâtiment de 1948, lorsque les français ont créé le domaine. Actuellement repris par les marocains.

Le bâtiment de l’accueil.

Celui de l’embouteillage.

Les cuves en inox.

Tapis afin de monter le raisin pour un pressage pnematique.

Les anciennes cuves en béton.

L’entreposage dans les tonneaux fabriqués à Bordeaux.

Vue du domaine…

… de l’hôtel…

… et du marabout que je visiterai demain.

L’entrée de l’hôtel en forme de bouteille.

La dégustation…

… magnifiquement servis par le sommelier autodidacte Abdallah (qui a remporté la 5ème place aux championnats marocains), il se prépare pour les championnats du monde. Il nous présente 4 vins. La Perle du Sud, pétillant méthode champenoise, Chardonnay. Puis le blanc, Coteau de l’Atlas également Chardonnay. Pour passer au rouge, Château Roslane 1er cru, un assemblage de Cabernet, Syrah et Merlot (le seul du Maroc ayant reçu l’appellation Château). Et terminer par un Muscat. Tous délicieux. Consommés à 95% au Maroc et seulement 5% pour l’exportation. Il n’est donc pas étonnant que l’on ne trouve que très peu de bons vins marocains en Europe.

Et des marabouts, bien sûr…

Moulay Yakoub, Moulay Yakoub, encerclé de toute part !

Et pour sa femme, Lalla Chafya, il faudra revenir car son mausolée se cache en haut de la colline. Tout un groupe de femmes m’ont proposé de les accompagner mais le temps me manque, hélas, pour les suivre.

À Oulad Youssef Zerhoun, en cherchant le 504 pour une meilleure photo, un nouveau sur le chemin : Sidi ahmed bin tarik. Le marabout reçoit-il du courrier ?

Le fameux 504, Sidi Driss, dans la pénombre en 2016, n’est pas plus visible aujourd’hui. Il faut dire que nous avons été arrêté par le très zélé (mais sympathique) maire du village qui n’a pas voulu me laisser l’approcher. Il doit contacter le caïd puis ira faire les photos et me les enverra… inch allah ! Heureusement je l’apercevais depuis le bas de la colline.

À gauche à Nzala Beni Ammar, vu aussi en 2016, mais trop loin pour nous y rendre. À droite et en bas, à Moulay Idriss Zerhoun, Moulay Idriss 1er, fondateur de la dynastie des Idrissides. Et un autre toujours plus ruiné vu aussi en 2016.

Created By
Dominique Wacker-Cao

Credits:

dominique wacker-cao

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