Ci-dessus : Sidi Bouknadel, Les jardins exotiques.
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Pour la 61e fois au Maroc…
Le parcours du jour, Nord-Ouest de Rabat : 112 km, jardins et marabouts !
La kasbah des Oudayas, encore un autre lieu agréable de Rabat, hélas pas exploré cette fois-ci.
Sidi Bouknadel, Les jardins exotiques... créés de toute pièce par un ingénieur horticole français Marcel François, en 1952. Ce n'est pas vraiment la saison pour les fleurs mais vers le Nord, sur la route côtière, la végétation luxuriante ne laisse pas indifférent. Comme le site des jardins ne mentionne même pas le parcours du créateur, voici quelques informations...
Son histoire, retracée dans le musée, avec la très belle lettre d'une amie, hommage à Madame François !
Balade en couple... qui finit en pugilat " Touche pas à ma femme ! "
Ô Maroc !!! Un texte écrit par Marcel François qui poétise son amour pour le Maroc. Je le comprends si bien.
Moulay Ismaël Alaoui Ismaili, le chikh (gardien) du marabout Sidi Mouhammad bin Abdallah, nous présente ses vélos, il en a quatre. Il part rouler tous les soirs pendant plusieurs heures. Un sportif nocturne hautement connecté. Merci encore de cette amicale, agréable et inoubliable rencontre.
L'eau y était si claire que je m'y serais baignée, mais le temps, le temps, le temps, ennemi des projets...
Carine adoooooore les phares...
Allez, qu'importe l'avarice, le même qu'avant-hier, il y en a eu si peu... le phare de Rabat, appelé aussi phare du fort de la Calette, construit en 1920 sur la plateforme du borj (bastion) Sirat.
Les dernières choses à faire avant de quitter le Maroc : photographier, pour les initiées, "La boîte aux lettres qui clignote " (voir ci-dessous), faire laver la voiture, intérieur et extérieur et réparer le pneu et sa crevaison lente... il y avait un clou !
Sidi Taïbi ou Tâlib, Sidi Missaoud.
Sidi Taïbi, Sidi Taïbi, mausolée complètement doublé de briques, aspect intérieur et extérieur dégoûtant, squatté par un homme très sale. Ce n'est pas une bonne réclame pour la très sportive marque allemande qu'il arbore sur sa veste, sans doute heureusement héritée d'un touriste de passage !
Sidi Allal al Bahraoui, Sidi Mouhammad bin Abdallah, chez notre ami le cycliste.
Credits:
dominique wacker-cao